Albert Londres - Le chemin de Buenos Aires - Chapitre 16
Albert Londres
Le chemin de Buenos Aires (La traite des blanches)
1927
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"[...] C’est le pompier — le pompier ! — qui se demande pourquoi il n’en toucherait pas aussi, et qui, le soir, pensant bien qu’un étranger ne saurait distinguer si son uniforme est celui de pompier ou de vigilant, arrête le caftane et dit : Donne-moi de l’argent ou je te fais !
C’est le faux agent en civil qui travaille d’accord avec un vigilant. Le faux agent s’avance, met la main sur l’épaule du coupable. Vous vivez de femmes ? dit-il. — Non ! fait l’autre. Le civil appelle le vigilant. — Vous vous trompez, répète l’autre. — Je n’y puis rien, fait le vigilant. Voyez, c’est un ordre supérieur. Il s’en va, courez après (!) essaya de lui donner de l’argent, et il fermera les yeux si je vous relâche. C’est l’agent bourgeois qui fait comparaître, un « homme » dont il sait que les affaires marchent bien : — On parle de vous expulser. Je puis l’empêcher !
L’homme comprend et verse trois cents pesos. [...]"
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